Été 2065. Mon père est mort, presque de chaud. Réfugié dans sa maison d’enfance, la dernière vague de chaleur l’a littéralement desséché. Asséché. 48,9°C à Embrun ce début juillet...
J’ai récupéré l’urne funéraire après la crémation, ma mère ne voulait pas la garder. Une sobre petite boîte (…)
Automne 2037. Mes vieux os commencent à rouiller quelque peu. Toujours en région parisienne, la retraite en ligne de mire pour enfin décoller vers les montagnes du sud-est. Il vaut mieux tard que jamais. D’autant que ma raison de (sur)vivre en Île-de-France, Fontainebleau, ses blocs de grès, la (…)